Et toi, comment vas-tu réagir ?
Tu connais certainement des gens qui détestent leur travail, mais qui continuent à s’y rendre tous les matins ?
Moi oui. Et c’est ce que j’ai fait pendant des années. Je n’allais pas au travail pour le plaisir. J’y allais parce qu’on m’avait fait une promesse. La promesse que le travail épuisant que je faisais chaque jour allait me permettre de choisir ma vie, et d’être libre.
Et puis, j’ai compris que c’était qu’une illusion…
Comme ces conditions d’utilisation, inscrites en petits caractères. La vérité, c’était que ce choix d’être libre n’allait probablement jamais se présenter à moi. Parce qu’il y a toujours « une dernière étape » où « l’étape d’après ».
Après le collège, il y a le lycée…
Puis le bac… Puis les études supérieures… Puis les stages… Puis le CDD... Puis le CDI… Puis les promotions…
Il y a toujours une bonne raison de rester.
Impossible de sortir du système sans sacrifier quelque chose. C’est pour ça que les gens qui haïssent leur boulot continuent à s’y rendre tous les matins sans broncher. Pas parce qu’ils ont envie de gagner...
Mais parce qu’ils ont peur de perdre.
Beaucoup de gens vivent dans la misère. Il n’est pas question de misère matérielle : la plupart ont de quoi manger à leur faim, un toit et des gadgets technologiques… Même si les temps sont durs.
C’est une misère mentale.
Un sentiment d’être esclaves d’un système dont ils sont les perdants. Un sentiment de ne jamais travailler pour eux, mais toujours pour les autres. De ne jamais prendre leurs propres décisions, mais de toujours subir celles des autres. Un sentiment d’enrichir les plus riches et de récolter les miettes (quand il y en a…).
Face à ça, il y a trois façons de réagir.
L’abdication
On accepte de subir. On endure, et on sert les dents. On se fait petit et on ne fait pas de vagues. On se comporte exactement comme les autres attendent que l’on se comporte.
La colère
On se refuse d’être dans la misère... Mais on ne fait rien pour changer. Au lieu de ça, on critique les autres. C’est la faute du système, des riches qui se gavent, du gouvernement corrompu et de ses pantins en cravate... Si tu veux manipuler les gens, justifie leurs échecs et confirme leurs suspicions. C’est comme ça que certains achètent des voix et arrivent au pouvoir. Mais ce n’est pas comme ça qu’on donne du pouvoir aux gens.
Le basculement
Pas besoin d’être en colère. Juste d’être réaliste. Qu’est-ce que je peux faire pour me sortir de cette situation ? Quels-sont les choix à ma disposition ? Et quel-est le meilleur pour moi ? Au lieu d’épuiser ton énergie à être en colère, à te plaindre encore et encore. Tu peux consacrer cette énergie au changement.
Monter un business en partant de tes compétences, de ton savoir et des besoins du marché.
Accepter les règles du jeu, mais jouer mieux que les autres. Si aujourd’hui, tu es dans la misère... Tu as trois choix :
Abdiquer
Être en colère
Basculer
Tu sais déjà quel-est le meilleur choix.
Le seul choix qui a le pouvoir de changer radicalement ta vie et de te sortir de la misère. C’est aussi le choix le plus difficile. Parce qu’il demande de se remettre en cause… Parce qu’il demande de l’énergie et de la concentration, de se former continuellement.
Mais le résultat est tellement à la hauteur...
Il a le pouvoir de tellement changer ta vie... De te rendre tellement heureux... Qu’il faut être fou pour faire un autre choix !
Passe une excellente journée !
Soo 🍹
PS : 💐💐💐 Bonne fête à toutes les mamans inscrites à ma newsletter… avec un jour de retard 😅.
PPS : En ce moment je travaille sur un truc qui peut t’intéresser si tu vends sur le web.
PPPS : Ça sort le 4 Juin… Pourquoi cette date ? C’est le jour de mes 34 ans