Justifiée ou non, elle est là
Tu le sais bien...
Inflation, réchauffement climatique, élections…
À la base, on trouve la peur 😱.
Justifiée ou pas, elle est là…
Tapis dans l’ombre de nos inquiétudes.
Et cette peur avance main dans la main avec notre biais de confirmation.
Késako ?
C’est une déviation de la pensée logique et rationnelle.
En gros, on réfléchit mal 🤯
Ce biais de confirmation à pour effet de nous faire accepter les sources d’infos qui confortent nos peurs en rejetant les autres.
Et depuis quelque temps, on a les deux pieds dedans.
Pourquoi ça marche aussi bien ?
C’est simple...
L’être humain déteste le vide.
Quand il y a plus de questions que de réponses, il comble les trous avec plus d’émotion que de raison.
C’est ce qui arrive quand on a une petite douleur au ventre et qu’on interroge Google.
Oula malheureux, ne fait jamais ça ou c’est ta santé mentale que tu vas perdre.
Comme tu le sais déjà, si on réussit à contourner l’esprit critique pour toucher le cœur... BANCO 💘 !
Une blouse blanche, une musique anxiogène, deux ou trois termes médicaux bien placés et on boit l’intox comme du petit lait.
La peur nous ramène à l’état primitif 🐵
C’est l’émotion la plus puissante.
Alors non, je ne te conseille pas de l’utiliser dans ton écriture.
Tu peux l’employer quand tu crées un argumentaire et que tu appuies sur les conséquences de l’inaction de ton lecteur.
Mais n’utilise jamais la peur de manière brute.
Sauf si tu es un conspirationniste de premier ordre.
Créer ce sentiment chez ton lecteur, c’est prendre le risque de le perdre pour toujours.
Tu dois t’arranger pour qu’il lise ta dernière ligne avec le sourire, un espoir ou une volonté d’agir positive.
Soo 📮
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