Tu crois penser. Mais on pense à ta place.
Ton cerveau te ment.
Il te fait croire que tu décides.
Mais en vrai… il réagit.
À des images.
À des mots.
À des silences bien placés.
Tu crois que tu choisis ?
Non.
Tu obéis.
À des impulsions invisibles.
À des déclencheurs placés là… pour faire croire que c’est toi.
Et ce qui est fascinant, c’est que tu fais pareil.
Tu veux vendre ?
Tu penses que t’as besoin d’un bon argument.
D’un prix attractif.
D’un joli visuel.
Mais tu ne parles pas au bon endroit.
Tu parles au cortex.
Alors que les décisions se prennent plus bas.
Là où ça respire.
Là où ça tremble.
Là où l’image se crée avant même que l’idée apparaisse.
Tu peux répéter ton pitch cent fois.
Tu peux ajuster ta promesse, ton angle, ton “why”.
Tant que tu n’actives pas le bon circuit, tu forces.
Mais y’a un autre chemin.
Un code.
Une manière de s’infiltrer dans le cerveau de l’autre… et d’y laisser une trace.
Une trace douce.
Presque sensuelle.
Qui fait dire “je veux”, avant même qu’on ait parlé d’argent.
Cette semaine, je vais pas te convaincre.
Je vais juste te montrer ce que t’as jamais vu.
Ce qui décide.
Ce qui active.
Ce qui fait vendre.
Et une fois que tu l’as vu…
Tu ne pourras plus faire marche arrière.
Soo